Les Meilleurs Talents ne sont pas forcément les meilleurs élèves

‍‍Sommaire:
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1. L’intelligence ne veut pas dire de bonnes notes 
1.1 le par-coeur 
1.2 d’autres aspirations

2. La facilité derrière regarder les notes 
2.1 quantifiables
2.2 moins d’actualité aujourd’hui

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“La plupart d'entre nous ont appris à penser que nous sommes plus ou moins intelligent que d’autres. Mais les définitions de l'intelligence que nous avons apprises à l'école ont été construites autour des types spécifiques d'intelligence les plus valorisés à l'école - l'intelligence verbale et l'intelligence numérique.”

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1. Etre intelligent ne veut pas forcément dire avoir de bonnes notes.

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1.1 Le ‘par-coeur’

Comme nous l’indique si bien le philosophe Paul McKenna, nous ne pouvons pas définir l'intelligence d’un individu en fonction des notes attribuées à cette personne.

‍Les bonnes notes ne mesurent qu'un seul aspect de l'intelligence d'une personne : ses résultats scolaires. Certes, les bonnes notes peuvent dépendre de la durée d'étude d'une personne, de sa compréhension de la matière ou de la facilité du test. Mais ces facteurs ne veulent pas dire qu’un élève est plus intelligent qu’un autre.

‍En effet, un étudiant peut apprendre son cours par cœur, tout en ayant aucune compréhension de son contenu, et simplement décharger son savoir en ressortant la tête vide. 

Posez-leur des questions sur l'examen et sur ce qu'ils ont écrit dans la salle après trois jours et ils ne s'en souviendront pas.

Mais, connaissez-vous la chose amusante? La plupart du temps, ces personnes-là obtiennent toujours de bonnes notes, mais si vous les appelez et leur dites d'accord, venez nous apprendre ou nous expliquer certaines choses, il ne vous aideront pas à vous aider.

1.2 D’autres aspirations

Un autre scénario possible est le fait que certaines des personnes les plus performantes n'ont pas bien réussi à l'école parce qu'elles étaient toujours occupées à travailler sur leurs projets. Steve Jobs, Bill Gates et Mark Zuckerberg ont tous abandonné leurs études, mais ils ont quand même réussi à devenir l'un des entrepreneurs les plus prospères au monde.

Beaucoup de gens qui réussissent n'ont pas bien réussi à l'école parce qu'ils souffraient de dyslexie ou d'autres troubles d'apprentissage. Richard Branson, le fondateur de Virgin Group, souffre de dyslexie. Il dit: «Cela a été un énorme avantage dans la vie parce que cela m'a fait voir les choses différemment. Je n'ai jamais été capable de lire ou d'écrire de la musique, mais j'ai une bonne oreille et je peux sentir quelles notes fonctionnent ensemble.

2. La facilité derrière regarder les notes 

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2.1 Les notes sont le critère le plus quantifiable

‍Il est facile pour les employeurs de présélectionner rapidement les candidats en fonction de leurs notes et de l'université qu'ils ont fréquentée, mais cela signifie qu'ils manquent tout un groupe de personnes qui seraient également un atout majeur pour leur équipe. Les préjugés inconscients dans le processus d'embauche ont un effet critique et problématique sur notre jugement, créant de fausses idées sur les capacités d'un candidat basées sur nos propres opinions personnelles.

Notre objectif de donner aux gens les moyens de réussir est au cœur de notre propre processus d'embauche et d'entretien, mais nous encourageons également nos clients à regarder au-delà du CV et à interroger les personnes, dont les notes ne sont peut-être pas les meilleures, mais qui ont en réalité la volonté et la motivation pour réussir. au-delà des limites d'un établissement ou d'un système d'enseignement.

2.2 Les notes sont moins d’actualité aujourd’hui

"Les notes ne mesurent pas votre intelligence… Mais elles définissent ce que la société vous engagera pour faire de votre intelligence”, nous indique Richard P. Feynman, ancien professeur de Physique à Cornell.

Nous recherchons maintenant des compétences du 21e siècle sur le lieu de travail, pour des personnes innovantes, empathiques et douées pour apprendre de nouvelles choses. De plus en plus, nous recherchons des penseurs divergents, des personnes qui recherchent de nouvelles façons de faire les choses. Étant donné que les notes ne mesurent pas bien ces traits ou compétences, Google est maintenant une des premières entreprises à déclarer que la moyenne d’un élève n’avait aucune valeur comme critère d’embauche.

C’étiat très utile à l’époque quand il fallait voir si certains élève était bon en mathématiques, ou en code – cependant, aujourd’hui c’est les softs skills qui prennent le dessus dans les écoles de commerces. Les ordinateurs calculent et  créent des programmes beaucoup plus rapidement que les meilleurs élèves pouvaient le faire il y a plusieurs années.